Aujourd'hui, les politiques cosmétiques montrent leurs limites. A moins d'opter pour une résignation qui ne dit pas son nom ou se limiter à ralentir le déclin, il ne suffit plus d'organiser des animations pour espérer redynamiser un centre-ville. Chacun sait qu'une fois la fête terminée, la réalité n'aura en rien changé. Hélas, si la concurrence entre territoires constitue une source d’émulation sur le plan économique, elle se révèle désastreuse dans le domaine du commerce quand des petites communes, au motif qu’elles y ont intérêt, défendent des projets de zones commerciales nocives à l’échelon des villes voisines de leur agglomération. A l’échelon local, la question est donc souvent beaucoup plus compliquée qu’on ne l’imagine.
Les élus ne sont pas responsables du déclin de leur centre-ville (enfin pas toujours)
Les élus sont loin d'être toujours convaincus par la nécessité d'une zone commerciale mais ont-ils le choix ?
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